Choisissez du vin sans sulfite

La tendance est au « bio » et au manger plus sain en général. Le vin a toujours eu une bonne image. Bon pour la santé, le vin et en particulier le vin français jouit d’une bonne image: un vin de qualité, cultivé dans des vignes de renoms dans les règles de l’art viticole. Cette image a récemment été écornée par les vins « arrangés » ou modifiés. La tendance est donc résolument au vin biologique et au vin sans sulfite.

Les sulfites ?

Les sulfites sont des sels présents naturellement dans certains aliments (cornichons, fruits secs, pomme de terre) et dans les boissons alcoolisées en général. Ils se développent notamment lors de la fermentation. Pourquoi un vin sans sulfite? Les sulfites sont utilisés comme conservateurs et les producteurs de vin ont eu tendance à y recourir massivement pour assurer la qualité de leur vin après vinification.

Cependant, ce recours trop important aux sulfites entraîne une sensibilisation, une intolérance voire des réactions allergiques plus ou moins sévères: maux de ventre, éternuement et choc anaphylactique pour les cas les plus graves.

Les vins sans sulfites ont la côte

Conscients du problème, les petits producteurs ont décidés de ne plus ajouter de sulfites à leurs vins, c’est ce qu’on appelle le vin sans sulfite ajouté ou vin aux sulfites raisonnés qui ont été vinifiés avec un recours le plus limité possible aux sulfites.

Choisissez du vin sans sulfite #5

Le vin sans sulfites ajoutés est donc un vin plus naturel, moins susceptible de causer des réactions allergiques. Alors pourquoi ce priver de boire un vin plus respectueux de la tradition viticole. Des sites comme vins-etonnants.com vous proposent plus d’une centaine de vin sans sulfite ajouté et plus de 500 vins dit « sulfites très raisonnés ».

Découvrez des vins produits par des vignerons plus responsables: vins bio, vin sans sulfite, vins naturels…

https://alatienne fr/vin-sans-sulfite/

boissons sans sulfides

whisky sans sulfite
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
Marie-Paul Fontaine